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Économie

Revolut lance des distributeurs de billets en Espagne

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Revolut, a annoncé le lancement de distributeurs automatiques de billets en Espagne, sur lesquels il sera aussi possible d'ouvrir un compte ou d'obtenir une carte bancaire. (archives) (© KEYSTONE/DPA-Zentralbild/MONIKA SKOLIMOWSKA)

C'est une première pour une banque en ligne: la fintech britannique Revolut, a annoncé mercredi le lancement de distributeurs automatiques de billets en Espagne, sur lesquels il sera aussi possible d'ouvrir un compte ou d'obtenir une carte bancaire.

Revolut, qui a indiqué à plusieurs reprises ces derniers mois son intention d'investir davantage le monde physique, affirme dans un communiqué vouloir moderniser un système "resté quasiment inchangé au cours des dernières décennies".

La marque ouvrira 50 premiers distributeurs "dans les prochaines semaines" à Madrid et Barcelone avant de s'étendre à d'autres villes, avec l'objectif d'installer au total 200 appareils dans le pays. Le projet est d'étendre l'initiative dès 2026 à d'autres pays européens.

Revolut a plus que doublé son bénéfice net l'an dernier, à 790 millions de livres (938 millions d'euros), grâce à des clients toujours plus nombreux: elle en compte plus de 55 millions --dont plus de 5 millions en France, son deuxième marché après le Royaume-Uni, et presque autant en Espagne.

Concurrence des banques classiques

L'entreprise, valorisée 40 milliards d'euros l'an dernier, a acquis une place de banque secondaire mais elle veut concurrencer les banques traditionnelles. Elle a commencé à commercialiser des crédits immobiliers en Lituanie, où elle dispose d'une licence bancaire, et prévoit d'étendre cette offre en Europe.

La néobanque a annoncé le mois dernier un investissement d'un milliard d'euros en France, ainsi que l'installation à Paris de son siège pour l'Europe de l'Ouest, d'où elle supervisera entre autres l'Espagne, l'Italie, l'Allemagne et l'Irlande.

Revolut a par ailleurs annoncé mardi sa participation au consortium European payments initiative (EPI), qui développe la solution de paiement Wero, initialement imaginée comme une réponse européenne aux géants américains Visa et Mastercard, et proposera cette dernière à ses clients français, allemands et belges à partir de juillet.

Ses nouveaux distributeurs fonctionneront avec une carte physique ou sans contact, et Revolut précise que l'authentification par reconnaissance faciale sera "lancée prochainement".

Les appareils permettront aux clients de la banque de retirer des espèces sans frais supplémentaires, notamment à l'étranger. Les usagers d'autres établissements pourront également les utiliser "moyennant des frais compétitifs", promet l'entreprise.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Économie

Le CEO de LLB nommé à la tête de Raiffeisen

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A la tête de Raiffeisen, Gabriel Brenna prend la suite de Heinz Huber, qui a quitté ses fonctions fin décembre 2024 (archives). (© KEYSTONE/URS FLUEELER)

Directeur général (CEO) de Liechtensteinische Landesbank (LLB) depuis 2021, Gabriel Brenna a été nommé à la tête de Raiffeisen Suisse. Le nouveau président de la direction prendra ses fonctions le 1er décembre, précise mercredi un communiqué de Raiffeisen.

Gabriel Brenna prend la suite de Heinz Huber, qui a quitté ses fonctions fin décembre 2024. Jusqu'à l'entrée en fonction de Gabriel Brenna, Christian Poerschke continuera d'assurer la fonction ad interim. Ensuite, il reprendra son rôle de CFO de Raiffeisen Suisse.

Possédant la double nationalité suisse et italienne, M. Brenna a étudié à l'Ecole polytechnique fédérale de Lausanne ainsi qu'à l'Université Carnegie Mellon et à l'Université de Stanford (Etats-Unis). En 2004, il a obtenu un doctorat de l'Ecole polytechnique fédérale de Zurich.

De son côté, la banque Liechtensteinische Landesbank (LLB) a salué dans un communiqué le bilan de M. Brenna depuis son arrivée dans le comité de direction en 2012, puis en tant que CEO à compter de 2021. En attendant de lui trouver un remplaçant, le directeur financier (CFO) Christoph Reich reprendra la fonction de CEO ad interim. LLB précise que le processus de recrutement a été lancé.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Économie

Vaud: création d'un Centre de compétence pour la durabilité

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Ce mardi, Isabelle Moret, la cheffe du DEIEP, Alberto Verde, Président de ConstructionVaud et du CDD (Centre de compétences pour la durabilité dans la construction) et Corentin Fivet, Professeur associé en architecture et conception structurelle à l’EPFL, ont présenté les missions de la nouvelle plateforme de référence. (© Fédération vaudoise des entrepreneurs)

Vaud s'offre un Centre de compétence pour la durabilité dans la construction (CCDC). Porté par l'association ConstructionVaud, il a pour but d'accélérer la transition écologique d'un pilier économique essentiel du canton. L'Etat va injecter 600'000 francs sur cinq ans.

Mettre toute les acteurs clefs du secteur de la construction autour de la table. C’est le défi porté par l’association ConstructionVaud qui rassemble les principales faîtières professionnelles du canton. Basé à la Fédération vaudoises des entrepreneurs, cette plateforme de référence permettra d’accélérer la transition écologique dans le canton de Vaud selon Alberto Verde, président de l'association ConstructionVaud et du CCDC.

Alberto Verde Président de ConstructionVaud et du CCDC

Pour y parvenir, l’État va injecter 600'000 francs sur cinq ans. Ce soutien dégressif vise à permettre au Centre d’atteindre son autonomie financière d’ici 2030. Hier, la cheffe du Département de l’économie, de l’innovation, de l’emploi et du patrimoine a rappelé que la durabilité est une priorité économique, dans un secteur qui mobilise 30'000 emplois et 5% du PIB vaudois.

Isabelle MoretConseillère d’État, chargée de l’économie, de l’innovation, de l’emploi et du patrimoine

Pour rappel, le canton de Vaud s’est engagé à atteindre la zéro émission nette carbone d’ici 2050. Celui pour l’administration vaudoise devra être atteint dix ans avant.

Ce partenariat public-privé a pour mission de réduire l’impact environnemental des bâtiments, en particulier dans leur phase de construction comme l'explique Isabelle Moret. On la retrouve.

Isabelle MoretConseillère d’État, chargée de l’économie, de l’innovation, de l’emploi et du patrimoine

Les premières activités du Centre de compétence pour la durabilité démarreront cette année, avec l’enregistrement des premiers membres et l’organisation d’événements thématiques.

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L'argent liquide sera garanti dans la Constitution

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Les Suisses tiennent à l'argent liquide même s'ils y ont de moins en moins recours (photo d'illustration). (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

L'argent liquide doit être garanti en Suisse. Après le National, le Conseil des Etats a approuvé mardi à l'unanimité le contre-projet direct du Conseil fédéral à l'initiative populaire du Mouvement Liberté Suisse (MLS). La Constitution sera modifiée en ce sens.

L'initiative "Oui à une monnaie suisse libre et indépendante sous forme de pièces ou de billets" veut garantir le maintien de l'argent liquide en Suisse. Elle exige aussi que tout projet de remplacement du franc suisse par une autre monnaie soit soumis au vote du peuple et des cantons.

Ces principes devraient être inscrits dans la Constitution. Selon le MLS, cela permettra de garantir le maintien de l'argent liquide en Suisse, qui serait en péril.

Le Conseil fédéral a rejeté l'initiative mais opté pour un contre-projet. Il prévoit d'inscrire dans la Constitution la garantie de l'approvisionnement en numéraire et l'utilisation du franc en tant que monnaie nationale. Ces principes sont déjà garantis dans la législation. Mais en les inscrivant dans la Constitution, il répond à l'initiative.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

Travailleurs détachés: infractions dans un quart des contrôles

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Le secteur de la santé et du social fait partie des branches les plus touchées (image d'illustration). (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

Plus d'un quart des contrôles de travailleurs détachés en Suisse ont révélé des infractions aux conditions de travail et de salaire en vigueur. L'an dernier, les organes d'exécution ont contrôlé près de 140'000 personnes dans plus de 36'000 entreprises.

Dans les branches dotées de conventions collectives de travail (CCT) étendues, le taux d'infraction s'élevait à 28%, indique mardi le Secrétariat d'Etat à l'économie (Seco). Dans les branches sans salaires minimaux obligatoires, des sous-enchères salariales ont été constatées dans un cinquième des entreprises contrôlées. Chez les employeurs suisses, le taux de sous-enchère salariale s'élevait à 10%.

Le nombre de contrôles a légèrement diminué par rapport à 2023. Au total, 7% des employeurs suisses, 25% des travailleurs détachés et 27% des prestataires de services indépendants transfrontaliers ont été contrôlés. Les organes d'exécution concentrent leurs contrôles sur les domaines dans lesquels des infractions ou des sous-enchères sont plutôt soupçonnées.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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