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Même les cactus redoutent le réchauffement climatique

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Les cactus ne supportent pas mieux le réchauffement climatique (image prétexte). (© KEYSTONE/ALESSANDRO DELLA BELLA)

Environ 60% des espèces de cactus devront faire face à des climats moins hospitaliers dans les décennies à venir à cause du réchauffement climatique, selon une étude qui remet en question l'idée selon laquelle ces plantes prospéreront avec la hausse des températures.

Si l'on ajoute d'autres facteurs (disparition des habitats, dégradation du milieu naturel, etc), ce sont jusqu'à 90% des cactus qui pourraient être menacés d'extinction d'ici 2070, trois fois l'estimation actuelle, estiment des chercheurs de l'université de l'Arizona dans cette étude publiée jeudi dans Nature Plants.

Quelque 1500 espèces de cactus réparties sur le continent américain vivent sous des climats différents, allant des déserts situés au niveau de la mer aux hautes montagnes des Andes, des écosystèmes arides aux forêts tropicales humides.

Parmi les hauts lieux de la biodiversité riches en différentes espèces, on trouve le centre du Mexique et la forêt atlantique le long du littoral du Brésil.

Résultats pessimistes

Afin de vérifier l'hypothèse selon laquelle les cactus profiteraient d'un monde plus chaud et plus enclin aux sécheresses, les chercheurs, emmenés par Michiel Pillet de l'Université d'Arizona, ont examiné des données relatives à plus de 400 espèces, et utilisé des modèles pour prévoir leur évolution à horizon du milieu du siècle et au-delà, selon différents scénarios d'émissions de gaz à effet de serre.

Les résultats "dépeignent un avenir plus pessimiste", selon l'étude.

Actuellement, les cactus sont surtout menacés par l'expansion de l'agriculture, la dégradation du milieu naturel, la perte de biodiversité et leur récolte à des fins diverses.

Même sans changement climatique, les cactus "constituent l'un des groupes d'organismes les plus menacés de la planète", plus de 30% d'entre eux étant classés comme menacés d'extinction, notent les auteurs.

Cactus encore plus menacés

Et le réchauffement climatique deviendra bientôt une menace lui aussi, si les émissions ne sont pas fortement réduites.

"Nos résultats suggèrent que le changement climatique va devenir un des principaux moteurs du risque d'extinction du cactus, avec 60 à 90% des espèces évaluées affectées de façon négative", indiquent les chercheurs.

D'ici 2070, environ 25% des espèces de cactus pourraient faire l'expérience d'un climat inconnu sur un quart de leur aire de répartition actuelle.

Des études antérieures ont montré que la photosynthèse - le processus par lequel les plantes utilisent la lumière du soleil pour croître à partir de CO2 et d'eau - était compromise par le réchauffement.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Antonio Filosa prend ses fonctions à la tête de Stellantis

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Le nouveau patron du géant de l'automobile pilotait préalablement les activités nord-américaines du groupe. (archive) (© KEYSTONE/EPA/CAROLINE BREHMAN)

Antonio Filosa doit remplacer lundi Carlos Tavares à la tête de Stellantis et annoncer sa nouvelle équipe dirigeante, alors que le cinquième constructeur automobile mondial (marques Peugeot, Fiat, Chrysler) traverse une période difficile.

Cet Italien, longtemps en poste au Brésil puis aux Etats-Unis, incarne le virage radical pris par le constructeur automobile, après l'ère du très francophile Carlos Tavares.

Antonio Filosa, bientôt 52 ans (il les aura jeudi), était jusqu'à présent directeur pour l'Amérique du Nord et du Sud du groupe aux 14 marques, ainsi que directeur mondial de la qualité.

Il doit annoncer lundi la nouvelle équipe de direction de Stellantis. Il s'adressera ensuite à ses équipes mercredi.

L'équilibre transatlantique de cette équipe sera scruté par les salariés comme par les investisseurs.

Le groupe Stellantis a été créé en 2021 avec la fusion du français PSA (Peugeot, Citroën, Opel) et de l'italo-américain Fiat-Chrysler.

L'Europe représente le premier marché du groupe en volume, mais il réalise l'essentiel de ses bénéfices en Amérique du Nord, où des difficultés en 2024 ont précipité la chute de Carlos Tavares, ancien dirigeant de PSA.

A présent, le quatrième constructeur automobile mondial penche nettement plus vers les Etats-Unis, avec à sa tête deux Italiens issus du groupe Fiat-Chrysler, M. Filosa et l'héritier de la famille fondatrice de Fiat, John Elkann, président du conseil d'administration.

Depuis l'annonce de sa nomination fin mai, M. Filosa a cherché à rassurer en consacrant sa première visite à l'usine historique de Peugeot, à Sochaux (Doubs). Il s'est ensuite rendu en Italie, en Espagne et en Allemagne, dans les usines comme auprès des équipes commerciales, a indiqué Stellantis.

Après un tour semblable aux Etats-Unis, il était mercredi dans l'usine slovaque du groupe qui fabrique la Citroën C3, et jeudi en France avec des concessionnaires. Il doit continuer sa tournée européenne cette semaine, a précisé Stellantis, se mettant dans les pas de son prédécesseur Carlos Tavares.

"Dans cette prochaine phase cruciale du développement de Stellantis, Antonio montre une véritable compréhension de notre industrie, de notre entreprise et de ses employés, qu'il considère comme notre principale force", a déclaré fin mai John Elkann.

Qualité

Les défis sont nombreux pour Antonio Filosa et son équipe: si Stellantis a enregistré des marges record pendant ses premières années, ses parts de marché comme ses bénéfices ont plongé en 2024.

Les marques du constructeur ont rencontré plusieurs graves problèmes de fiabilité, notamment avec les moteurs Puretech et les airbags Takata, responsables de pannes et d'accidents graves.

Une première nomination annoncée par Stellantis le 2 juin doit y répondre: le Français Sébastien Jacquet, vétéran de l'ingénierie chez PSA, a remplacé M. Filosa comme directeur mondial de la qualité.

Le constructeur doit aussi affronter la tempête des droits de douane américains, et potentiellement rapatrier une partie de son importante production mexicaine aux Etats-Unis.

En Europe, Stellantis doit regagner des parts de marché et convaincre des acheteurs hésitants devant des voitures électriques encore chères, tout en accélérant le développement de son offre de véhicules hybrides, plus abordables.

Le lancement de la Fiat Grande Panda, hybride et électrique, mardi à Turin (Italie), doit symboliser cette accélération.

Antonio Filosa, entré chez Fiat en 1999, a été envoyé au Brésil en 2005, où il a gravi les échelons pendant près de 20 ans avant de devenir, au moment de la fusion, le directeur des opérations pour toute l'Amérique du Sud, continent où Stellantis domine le marché.

En 2023, il est appelé à Auburn, dans le Michigan, pour diriger la marque Jeep, l'un des fleurons du groupe. Il enregistre des succès commerciaux notables, comme avec la Jeep Avenger, première Jeep électrique et élue "voiture de l'année" par la presse européenne en 2023.

"C'est un homme de l'interne qui est prêt à agir. Il s'est battu pendant six mois pour être nommé (directeur général). On aura sûrement des décisions assez rapidement", a estimé l'analyste Philippe Houchois, du cabinet Jefferies, jeudi lors d'un évènement du lobby automobile français.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

Guerre Iran-Israël: les derniers développements

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Cette image satellite montre les dommages occasionnés au site nucléaire iranien de Fordo par les bombardements américains. (© KEYSTONE/AP)

Les Etats-Unis ont assuré dimanche avoir "dévasté" le programme nucléaire de l'Iran en bombardant les trois principaux sites nucléaires du pays, rejoignant l'offensive lancée par Israël le 13 juin.

Après des jours de flou autour d'une intervention militaire, Washington a frappé des installations d'enrichissement d'uranium de Fordo, Natanz et Ispahan, le président Donald Trump se vantant d'"une réussite militaire spectaculaire" et évoquant même un "changement de régime" à Téhéran.

Programme nucléaire "dévasté"

Son ministre de la Défense Pete Hegseth a affirmé que ces attaques avaient "dévasté" le programme nucléaire iranien, grâce à sept avions bombardiers furtifs B-2.

Ce sont les uniques appareils pouvant larguer des bombes anti-bunker de type GBU-57, pesant 13,6 tonnes et pouvant s'enfoncer jusqu'à 60 mètres de profondeur avant d'exploser.

"Des dommages monumentaux ont été causés à tous les sites nucléaires en Iran, comme le montrent les images satellite. Destruction totale est l'expression qui convient", a affirmé Donald Trump sur les réseaux sociaux.

"Les dégâts les plus importants ont été causés bien en dessous du niveau du sol. En plein dans le mille !!!", s'est-il félicité.

Les avions ont largué sur l'Iran 14 bombes GBU-57, soit "la première utilisation opérationnelle de cette arme", a déclaré le chef d'état-major, le général Dan Caine. Deux d'entre elles sont tombées sur l'usine d'enrichissement de Fordo, au sud de Téhéran.

Les trois principaux sites nucléaires iraniens ont subi "de graves dommages", a-t-il souligné.

Mais un conseiller du guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, a affirmé que son pays possédait toujours des stocks d'uranium enrichi et que "la partie n'(était) pas terminée".

Diplomatie ou "changement de régime"

En dépit de cette action militaire sans précédent, les Etats-Unis ont dit être "prêts" à discuter avec l'Iran de son programme nucléaire civil.

"Le régime iranien doit se réveiller et se dire 'OK, si nous voulons vraiment de l'énergie nucléaire (à des fins pacifiques, ndlr) dans notre pays, alors il y a un moyen de le faire'. L'offre est toujours là, nous sommes prêts à leur parler demain", a lancé le chef de la diplomatie américaine Marco Rubio.

La France, l'Allemagne et le Royaume-Uni, marginalisés par l'opération militaire américaine, ont pressé l'Iran "de ne pas entreprendre d'autres actions susceptibles de déstabiliser la région", le président Emmanuel Macron exhortant à éviter une "escalade incontrôlée".

De son côté, Abbas Araghchi, le chef de la diplomatie iranienne, est à Moscou pour s'entretenir lundi avec le président russe Vladimir Poutine, Moscou et Téhéran étant alliés.

Mais dimanche soir, le président Trump s'est ouvertement interrogé sur l'idée d'un "changement de régime" en Iran: "Il n'est pas politiquement correct d'utiliser le terme +Changement de régime+, mais si le régime iranien actuel est incapable de RENDRE L'IRAN GRAND À NOUVEAU, pourquoi n'y aurait-il pas un changement de régime ???", a-t-il écrit sur son réseau Truth Social.

"L'Amérique n'a plus sa place" au Moyen-Orient

Le président iranien Massoud Pezeshkian a promis une "riposte" à l'"agression" des Etats-Unis. Le ministre Araghchi a fustigé un "comportement extrêmement dangereux, anarchique et criminel".

Le conseiller de M.Khamenei a prévenu que les bases américaines au Moyen-Orient utilisées pour frapper l'Iran étaient des cibles "légitimes" et qu'"il n'y avait plus de place pour l'Amérique dans le monde islamique".

40 missiles sur Israël

Après les frappes américaines, l'agence de presse iranienne Irna a fait état de 40 missiles tirés sur Israël depuis l'Iran, visant l'aéroport Ben Gourion, près de Tel-Aviv, et un "centre de recherche biologique".

Les journalistes de l'AFP ont constaté d'importants dégâts dans des quartiers habités au nord et au sud de Tel-Aviv, où des maisons et immeubles ont été éventrés. Les secours ont annoncé avoir pris en charge 23 blessés.

"Des dizaines de cibles militaires" en Iran

L'armée israélienne a affirmé avoir frappé "des dizaines de cibles militaires" dans quatre régions iraniennes, dont "pour la première fois" celle de Yazd (centre).

Dans cette région, trois personnes sont mortes après qu'un drone israélien a touché une ambulance, selon des médias iraniens.

Dans la soirée, d'autres frappes israéliennes ont touché le nord-ouest de l'Iran.

Israël prie pour Trump

Dans une vidéo destinée à Donald Trump, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu l'a salué pour avoir imposé un "tournant historique" pouvant conduire le Moyen-Orient vers "un avenir de prospérité et de paix". Il s'est ensuite rendu devant le mur des Lamentations, à Jérusalem, pour réciter une prière spécialement dédiée à ces remerciements.

Et grâce au président américain, Israël "s'est rapproché" de ses objectifs dans la guerre avec l'Iran, a renchéri le chef du gouvernement.

Guerre aux "prétextes absurdes"

Le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres a dénoncé le "risque" que le monde s'"engouffre dans un cycle sans issue de représailles", lors d'une réunion d'urgence du Conseil de sécurité à New York.

L'ambassadeur iranien auprès des Nations unies, Amir Saeid Iravani, a accusé les Etats-Unis d'avoir "encore une fois eu recours à la force illégale (et) lancé une guerre (...) sous des prétextes absurdes et inventés.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Football

City se balade contre Al Ain et se qualifie

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Akanji et City ont écrasé Al Ain dimanche à Atlanta (© KEYSTONE/AP/Mike Stewart)

Manchester City s'est offert une belle balade contre Al Ain, écrasé 6-0 grâce notamment à un doublé d'Ilkay Gundogan et au premier but de Rayan Cherki, lundi à Atlanta.

L'équipe du défenseur international suisse Manuel Akanji s'est ainsi ouvert les chemins des 8e de finale du Mondial des clubs.

Les jeux sont faits dans le groupe G puisque le succès des Citizens face à la formation émiratie propulse également la Juventus Turin au prochain tour. Mancuniens et Turinois, à égalité avec six points, en découdront jeudi à Orlando lors de la dernière journée de la poule pour le gain de la 1re place.

Ce duel permettra de mieux situer l'état de City après une saison nationale et européenne blanche, une première depuis l'exercice 2016/17, car Al Ain a été trop faible pour opposer une résistance digne de ce nom.

Comme pour ses débuts dans le tournoi contre le Wydad Casablanca (2-0), Pep Guardiola avait décidé d'effectuer une large revue d'effectif, titularisant cette fois plusieurs cadres (Haaland, Bernardo Silva, Gundogan, Gvardiol, Akanji) et lançant l'une des recrues phares de l'été, l'arrière gauche algérien Rayan Aït-Nouri.

Aucune chance

Cette armada n'a logiquement laissé aucune chance à Al-Ain, déjà étrillé par la Juve (5-0). Gundogan a rapidement commencé le festival des Citizens (6e) avant d'être imité par le jeune Argentin Claudio Echeverri (19 ans) sur un magnifique coup franc (27e).

Haaland a ensuite ouvert son compteur dans cette Coupe du monde sur penalty juste avant la pause avant une deuxième réalisation pleine de sang-froid de Gundogan, qui pourrait quitter le club à l'issue de la compétition (72e), un tir imparable signé Oscar Bobb (84e) puis un dernier but de l'ex-Lyonnais Rayan Cherki, son premier sous les couleurs des Skyblues (89e).

Guardiola aura aussi apprécié la belle prestation d'Aït-Nouri, arrivé en provenance de Wolverhampton moyennant 50 millions d'euros et aligné pour la première fois. Le joueur de 24 ans, aux grandes qualités offensives, a souvent amené le danger sur son côté gauche et a été un véritable poison pour les défenseurs émiratis.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Un premier sacre pour le Thunder d'Oklahoma City

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Shai Gilgeous-Alexander est le MVP d'une finale gagnée par OKC (© KEYSTONE/AP/Julio Cortez)

Le Thunder d'Oklahoma City, porté par son MVP canadien Shai Gilgeous-Alexander (29 points, 12 assists), a décroché dimanche à domicile son premier sacre NBA face aux Indiana Pacers.

Ce titre récompense une franchise qui a misé sur la jeunesse de ses joueurs et de son entraîneur.

Oklahoma City s'est imposé 103-91 lors d'un 7e match électrique pour remporter la série 4-3 et valider son couronnement. Mais OKC a longtemps tremblé face aux Pacers, pourtant privés de leur talisman Tyrese Haliburton, sorti blessé après sept minutes de jeu.

Le Thunder, héritier des Seattle SuperSonics champions en 1979, décroche ainsi son premier titre depuis son installation en Oklahoma en 2008. "OKC" avait atteint une première fois la finale en 2012 dans le sillage de Kevin Durant, et avec le Vaudois Thabo Sefolosha dans ses rangs, mais avait été dominé par Miami et LeBron James.

Treize ans plus tard, la franchise, qui repose sur un marché commercial modeste de cet Etat rural du Sud, a tout changé, sauf le manager général Sam Presti. Ce dernier a patiemment bâti un rouleau-compresseur défensif, grâce à de jeunes joueurs et un entraîneur à peine plus âgé, Mark Daigneault (40 ans).

Apprentissage

Meilleur bilan de la Conférence Ouest l'an passé déjà, le Thunder a achevé son apprentissage en tombant en demi-finale de Conférence contre Dallas et Luka Doncic, avant de devenir la meilleure équipe de la ligue cette saison.

Lors des play-off, l'équipe a été bousculée au deuxième tour par le champion 2023 Denver et Nikola Jokic, battus 4-3, après un échauffement contre Memphis (4-0) et avant un succès autoritaire contre Minnesota (4-1) pour voir la finale, où les étonnants Pacers ont fait trembler le Thunder jusqu'au bout.

Shai Gilgeous-Alexander n'aura pas fait injure à son statut de meilleur joueur de la ligue, avec des finales de patron aux statistiques épaisses (30,3 points de moyenne), dont il a aussi été désigné MVP.

Indiana cède en deuxième période

Dimanche, la finale a connu un premier temps fort, malheureux, lorsque Tyrese Haliburton s'est écroulé sur le parquet après 7 minutes de jeu, avant de sortir définitivement, en larmes, touché dans le bas de la jambe droite.

Bien que privés de leur talisman, les Pacers sont restés dans la partie, virant même en tête (48-47) à la pause. Le Thunder a fini par faire la différence lors du troisième quart (81-68). L'absence d'Haliburton s'est fait sentir en début de quatrième quart, les Pacers se retrouvant incapables de marquer pendant 4'30.

Alors que la NBA célèbre un septième champion différent en sept ans, le Thunder possède les moyens de rester en haut de l'affiche, avec une masse salariale maîtrisée et un effectif de 25 ans de moyenne d'âge. L'orage peut continuer de gronder sur la NBA.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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